aujourd'hui jme met a kicker même les ennemis dma clique ont la tricke
j'ai la rime élastique, j'ai mon stylo, mon ciseau et ma stick
les iench veulent mon steack alors jmenvole, c'est olbi l'magnifique
dans ma team ya ni flick ni gangster mais on s'tire et sa fait clik clik ( boum = bruits)
donc j'rame tel un gamin affamé et qui en meurt de faim
sauf qu'on veut du beef nous, la morale n'existe que dans le refrain
ce que jfait je le referé refré, j'mefrenne sur s'son alors mec met l'frein
hein? sans m'connaitre on m'traitre de voleur de sac a mains
jdis pas qu'les bourges sont des fils de catin car jsuis pas philosophe comme caton
olbido en actionsi l'rap c'est la prison alors moi jsuis un maton
yeah, l'vilain matou des goutieres, jl'ai goutté matte mes réactions
j'ai le moteur a reaction et m'les casse pas avec ton scooter d'occasions
d'location, jpréfère les rimes aux dictées et attiser les convoitises et
l'moral, jlai pas, même si jfais style de l'avoir, de ne pas etre martyrisé
j'reste marginalisé, sache que si mon nom n'existe pas rien ne sert de me pister
jme suis mit a tiser, a trop d'excès j'ai eu accès, ce que jme disais
fuck les fachos assis a l'élisée, j'emmerde le pouvoir et son arsenal
dans l'rap, jsuis perceval, j'aimerai pouvoir percevoir celui qui percera
et jveux vivre quitte a etre mercenaire, mais jamais prostitué mon pe-ra
celui qui sait saura et dans c'biz celui qui saigne mourra
trop peu d'courage dans s'courant, les faibles partent, j'arrive secourrant
secouant le mouvement, vive le HH, j'arrive comme un torrent
les scar-la me crie "on t'aura", moi jprie pour qu'on tue pas l'taureau
arretez les sons d'vendus, votre rap star sème trop la tyranie
j'aime trop cette Zic, Z comme zorro, olbido dis stop à la zizanie
bientot l'audio
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